Etre adolescent dans les années 80, c’était bien parce que le sélectionneur de l’équipe de France - au jeu spectaculaire et plein de panache -, était un humaniste, convaincu par de fortes notions d’éthique et de fair-play qui ne l’ont pas empêché d’offrir à la France son premier titre international (Euro 1984). C’était bien parce qu’on était fier du jeu pratiqué par les Bleus, les « Brésiliens de l’Europe ». Fier de leur attitude, de leur générosité, de leur humilité. Trente-deux ans après, à 83 ans, Michel Hidalgo n’en attend pas moins de la bande à Deschamps pour cet Euro 2016 dont il ne manquera pas une miette. (par J.L.B.)
M. Hidalgo, quel souvenir conservez-vous de cet Euro 1984 ?
D’abord que ce fut la première grande victoire de la France en compétition internationale, un titre important qui en annonçaient d’autres. Nous étions encore marqués par la demi-finale de Séville (1982, Allemagne – France 3-3 4 tab à 3 : ndlr). On menait 3-1 en prolongations… et on ne voyait pas comment on pouvait perdre. On avait attaqué cet Euro sur notre sol en craignant encore cette équipe d’Allemagne...
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D’abord que ce fut la première grande victoire de la France en compétition internationale, un titre important qui en annonçaient d’autres. Nous étions encore marqués par la demi-finale de Séville (1982, Allemagne – France 3-3 4 tab à 3 : ndlr). On menait 3-1 en prolongations… et on ne voyait pas comment on pouvait perdre. On avait attaqué cet Euro sur notre sol en craignant encore cette équipe d’Allemagne...
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