Cette fin de saison, comme toutes les fins de saison, est génératrice de tensions. Et c’est généralement dans ces périodes à forts enjeux, qu’il me parait important de continuer à privilégier le jeu, donc d’avoir une vraie philosophie... de jeu pour ne pas se laisser emporter par... l’enjeu.
![La chronique d'Eric CARRIÈRE - Pour ne pas que l'enjeu tue le jeu]( "La chronique d'Eric CARRIÈRE - Pour ne pas que l'enjeu tue le jeu")
La manière avec laquelle une équipe comme le Barça a déjoué lors de matchs capitaux, témoigne de la complexité de cette tâche. Par exemple, dans la difficulté de la double confrontation contre l’Atletico Madrid, un joueur aussi talentueux que Neymar a eu tendance à s’énerver, à trop en faire individuellement et donc à s’écarter des grands principes collectifs qui ont fait le succès de son équipe. C’est humain, mais ça met en péril l’identité de l’équipe donc son efficacité.
A Nantes, lors d’une fin de saison 1999-2000 très tendue où nous jouions le maintien, j’ai souvenir d’un match perdu à Nancy que nous avions vécu comme une injustice eu égard à certaines décisions de l’arbitre...
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A Nantes, lors d’une fin de saison 1999-2000 très tendue où nous jouions le maintien, j’ai souvenir d’un match perdu à Nancy que nous avions vécu comme une injustice eu égard à certaines décisions de l’arbitre...
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