Il y a quarante ans... et deux jours, la France se préparait à vivre sa première grande émotion collective autour d’un match de football. A Glasgow, le 12 mai 1976, les Verts de Saint-Etienne entraient dans la légende populaire et avec eux les poteaux carrés qui ont longtemps empêché de dormir Gérard Janvion. De retour en métropole pour célébrer cet anniversaire avec tous les anciens et glorieux Verts, le défenseur international qui vit aujourd’hui en Martinique, se souvient. (par J.L.B.)
Gérard, 40 ans après, cet engouement qui persiste toujours autour du phénomène vert vous étonne-t-il ?
Oui, quand même parce qu’on ne parle pas de quelque chose qui s’est passée il y a deux ou trois ans. Quarante ans... et on se retrouve tous à fêter une finale perdue (rires) ! Comme si c’était hier, ou presque. Je pense que les gens ont envie de célébrer cet anniversaire parce que, bien au delà de cette finale de Glasgow, ils n’ont pas oublié tout ce que l’ASSE a apporté au football français, en championnat, en coupe de France, tout ce que ce club a apporté à l’équipe de France. Le fait que l’ASSE n’ait rien gagné de significatif depuis accentue encore cette impression et glorifie encore davantage cette période bénie.
Vous venez de fêter ça à Saint-Etienne mais la nostalgie est bien nationale !
Oui, nous étions sur Paris en milieu de semaine, avant de tous se retrouver à Saint-Etienne jeudi soir. On est tous là, il ne manque que Dugalic à l’appel (le gardien remplaçant de Curkovic est décédé le 27 mai 2011 : ndlr), donc ça accentue encore plus l’émotion qui se dégage de ces retrouvailles. Presque, on aurait pu descendre de nouveau les Champs Elyssées (rires)...
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Oui, quand même parce qu’on ne parle pas de quelque chose qui s’est passée il y a deux ou trois ans. Quarante ans... et on se retrouve tous à fêter une finale perdue (rires) ! Comme si c’était hier, ou presque. Je pense que les gens ont envie de célébrer cet anniversaire parce que, bien au delà de cette finale de Glasgow, ils n’ont pas oublié tout ce que l’ASSE a apporté au football français, en championnat, en coupe de France, tout ce que ce club a apporté à l’équipe de France. Le fait que l’ASSE n’ait rien gagné de significatif depuis accentue encore cette impression et glorifie encore davantage cette période bénie.
Vous venez de fêter ça à Saint-Etienne mais la nostalgie est bien nationale !
Oui, nous étions sur Paris en milieu de semaine, avant de tous se retrouver à Saint-Etienne jeudi soir. On est tous là, il ne manque que Dugalic à l’appel (le gardien remplaçant de Curkovic est décédé le 27 mai 2011 : ndlr), donc ça accentue encore plus l’émotion qui se dégage de ces retrouvailles. Presque, on aurait pu descendre de nouveau les Champs Elyssées (rires)...
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