Formé à l’école auxerroise, une des références en matière de gardiens de but dans les années 80-90, avec Joël Bats, Lionel Charbonnier, Fabien Cool ou Ronan Le Crom, Bruno Martini aura été un des meilleurs gardiens français des cinquante dernières années. Mais au delà de sa carrière de joueur, ponctuée de 31 sélections en équipe de France, l’histoire retiendra aussi que c’est lui qui a mis en place, au sein de la DTN, la première formation d’entraîneur spécifique gardiens de but. Il le fallait pour suivre l’évolution d’un poste en perpétuel mouvement... qu’il a découvert très tôt, du côté de Nevers, subjugé par un gardien qui jouait en jaune et noir ! (par J.L.B.)
M. Martini, que retenez-vous de vos 492 matchs de Ligue 1, à Auxerre, Nancy et Montpellier ?
Cela n’a été que du bonheur ! J’ai eu la chance de vivre d’une activité qui était, et qui est toujours, ma passion. J’ai sur le football le même regard que lorsque j’étais petit, quand j’ai commencé à jouer à six ans.
Votre image est irrémédiablement attachée à celle de l’AJ Auxerre, est-ce que ça correspond à votre réalité ?
Après avoir été stagiaire deux ans à l’AJA, puis ensuite dix ans comme professionnel, je n’oublie pas que c’est à l’AS Nancy, où j’ai été prêté, que j’ai fait mes débuts en Ligue 1. Je garde donc un grand attachement à ce club, comme aux deux autres clubs que j’ai côtoyé. Je n’ai qu’à me louer d’y avoir joués. Nancy m’a permis de me lancer, Auxerre de devenir international et d’évoluer au plus haut niveau pendant dix ans, Montpellier de continuer à vivre de grands moments, notamment à travers la coupe d’Europe et une victoire en coupe de France en 1996.
Vous avez été formé à Auxerre où une véritable tradition des gardiens de but existait dans la foulée de Szeja, Bats, vous même, ensuite Charbonnier, Cool, Le Crom... Y avait-il une école de formation particulière ?
Je suis heureux que vous mentionniez le Polonais Marion Szeja qui faisait partie de l’équipe qui est montée en D1, finaliste de la coupe de France en 1979, et qui a participé à notre formation avec Joël (Bats)...
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Cela n’a été que du bonheur ! J’ai eu la chance de vivre d’une activité qui était, et qui est toujours, ma passion. J’ai sur le football le même regard que lorsque j’étais petit, quand j’ai commencé à jouer à six ans.
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Après avoir été stagiaire deux ans à l’AJA, puis ensuite dix ans comme professionnel, je n’oublie pas que c’est à l’AS Nancy, où j’ai été prêté, que j’ai fait mes débuts en Ligue 1. Je garde donc un grand attachement à ce club, comme aux deux autres clubs que j’ai côtoyé. Je n’ai qu’à me louer d’y avoir joués. Nancy m’a permis de me lancer, Auxerre de devenir international et d’évoluer au plus haut niveau pendant dix ans, Montpellier de continuer à vivre de grands moments, notamment à travers la coupe d’Europe et une victoire en coupe de France en 1996.
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